...râleur. Une photo prise par un pote, qui a profité d'une petite baisse d'attention de ma part (le salaud), et dont la décence veut que je taise le nom de l'auteur, hein Julien!

-Ma vengeance sera terrible: un jour où tu seras en mode playboy, tu verras, je prendrai de toi une photo par surprise, et que même ta moman n'osera pas la montrer à ta grand mère!!! (Mouahahahaha! :))

Mettre une photo sur le réseau. Ca c'est fait.

Petit speedpainting, lumière et couleurs. Mes gris sont encore trop pauvres et ça manque de tons sombres, on est casi en full pantones là, je dois arriver à plus éclater mes gris vers des tons sombres et des tons colorés clairs.

Mais bon depuis l'année dernière ou j'étais surtout en rouge, bleu et jaune, au bilan de cette année j'ai gagné dans les verts, les oranges et les bruns.

Et pour le fun (après les événements du Mali et de ces touaregs), j'ai bidouillé une photo de lave pour opposer à mon guerrier aquatique une sorte de lavamancien (un genre de mage de feu), mais comme j'aime pas la tête (qui est trop grosse et assez moche), il bougera probablement encore.

Je suis parti d'une mosaïque avec un aplat de matière et des aplats de couleurs, comme d'habitude pour ce genre de croûte je recommande de fermer un oeil et de reculer de l'écran, ce petit flou supplémentaire crée une ambiance lumineuse et adouci les à-coups.

(Cliquez sur l'image pour l'agrandir)

Pour la deuxième peinture, 35 minutes à faire des tâches sur un vieux test de couleurs qui à la base ne ressemblait à rien, avec trop de choses en tête.

Je regarde le résultat, je ne comprends pas, je pleure, je regarde à nouveau le résultat, et je me rends compte que c'est surtout que je n'ai pas envie de comprendre et blam je pleure à nouveau. Avec un cerveau moins lent sur certains plans que (sur) d'autres (moi j'appelle ça l'effet mongolfière), cela m'aurait évité bien des larmes...

Après je me dis que le monde est horrible, que cet amas de tâches est quelconque, puis que parfois ça fait du bien de pleurer, à la fin je me dis que ça ira mieux demain.

Oui, comme d'hab, ça ira mieux demain, ou peut-être plus tard que demain...monde cruel.

Et je ne peux même pas la brûler!!! C'est du digital painting, ô rage ô désespoir ô virtuel ennemi!

Il faut vraiment que je passes à l'huile où à l'acrylique.

Ma tête doit un peu refroidir en ce moment et surtout ce qui l'alimente, il sera probablement fermé quelques semaines, veuillez m'en excuser, mais je serais bientôt de retour sur la toile, peut-être que d'ici là l'été aura pointé le bout de son nez.

Ai changé la couleur de ma bannière bien que le noir soit plutôt une absence de couleurs.

Une bonne continuation à tous et à toutes. ;)

-Quelques bouillons et autres potages pas très frais (datent du mois passé), c'est lourd, c'est visqueux, ça doit encore être décarcassé, passé, filtré, ça manque de cuisson, d'épices, ça fleure l'indigestion. Et j'ai déjà trois cas de salmonellose.

Dans la lignée de mes conceptuels, fort désordonnés mais c'est pas trop grâve, je vous sers donc un peu de popotte bien crade, je précise que le vomitorium est en bas.

Sérieux, ce sont juste des tests qui me permettent de comparer des équilibres entre niveaux de détails, perspectives et éclairages, de jouer au bac à sable quoi, et maintenant je bidouille avec un peu de couleur, histoire de bien comprendre les limites et interactions entre les différentes couches et influences de ce gros bordel qu'on appelle image. Impression, perception, appréhension, compréhension (Plus tout ce que j'oublie...) et finalement peut-être, là au fond en haut à droite: conscience? Ou pas, car finalement elle est vite remise en question.

(Au passage, ces essais assez traumatisants instructifs me permettent de reverser mes acquis ailleurs, j'ai l'impression que les progrès que je fais en noir et blanc se répercutent sur mes projets de couleur...c'est marrant.)

(Cliquez sur l'image pour agrandir)

Splotch, splotch, sploplotch.